Jean-Marc Thomas, Maître praticien-enseignant en Reiki Usui Tibétain et kinésiologue à Besançon

Le Reiki et la kinésiologie...Pourquoi ?

Né en 1958, c’est à 50 ans que j’ai découvert le Reiki. C’était pour moi une nouvelle naissance; très vite, au fond de moi, j’étais convaincu que je devais en faire ma profession. Vous trouverez plus de détails dans l’onglet « à propos ». J’ai rapidement, dans cette optique, ressenti la nécessité de devoir apporter une autre technique en complément, la kinésiologie, offrant ainsi au client, un choix adapté à sa personnalité.

Ces 2 pratiques m’enrichissent au quotidien au travers mes rencontres avec mes clients, mais aussi mes élèves, dans le cadre de mes formations Reiki.

Mars 2018, pour faciliter la partie enseignement du Reiki, donner à mes élèves la possibilité de participer à des ateliers, je me suis installé au Pôle 23, 23 rue de la République à Besançon.

Selon moi, l’intérêt de ces 2 pratiques, est, qu’elles ne laissent pas place au mental, tant du praticien, que du client, et sont dans le respect de ce que celui-ci est en mesure de supporter.

En effet, en Reiki, je canalise l’énergie Universelle selon un protocole précis, et je la transmets par mes mains, au corps de la personne. C’est l’énergie qui fait le travail, selon les besoins du corps. Se rappeler de cela est primordial, afin de ne pas laisser l’égo nous envahir et se prendre pour un grand « guérisseur », comme trop souvent on peut le voir ou le lire.

Quant à la kinésiologie, c’est le test musculaire, incontournable, qui va déceler, en interrogeant le corps, les facteurs de stress enregistrés au travers le vécu de la personne et qui sont à l’origine de ses maux et de ses blocages. Moins le kinésiologue intervient en séance, et plus il sera un véritable « catalyseur » des énergies de la personne.

C'est une véritable démarche de transformation vers le mieux-être et la voie de la réussite. Cependant, en tant que praticien, je dois rester à ma place et ne rien forcer. C’est à chacun de décider là, où il veut aller. Le simple fait d’avoir déjà pris un premier rendez-vous, est le signe d’une prise de conscience et un premier pas certain, dans la volonté de se prendre en main et de s’en sortir. La personne peut arrêter quand elle le désire, prendre un temps de pause et reprendre plus tard, ou pas; elle reste maître de sa vie.

Il faut toujours rester conscient, qu'aucune "médecine complémentaire" n'est en mesure de garantir un résultat. Si cela était le cas, il n'existerait que celle qui en serait capable... Par contre, le résultat peut-être total, partiel ou sans. Il faut l'accepter, et c'est selon chacune ou chacun. "x" personnes avec une même problématique, n'auront pas forcément la même issue.

Dans le souci d’apporter à mes clients et élèves une image transparente de mes pratiques, et de les promouvoir au niveau national, pour aboutir, un jour, à une véritable reconnaissance, comme c’est déjà le cas dans de nombreux pays voisins, j’ai tout de suite adhéré à la FFRU (Fédération Francophone de Reiki Usui), devenue aujourd’hui la LFRU (La Fédération de Reiki Usui - https://www.lafederationdereiki.org/), puis au SNK (Syndicat National des Kinésiologues - https://snkinesio.fr/).

Le Reiki et la kinésiologie... Pour qui ? Lisez-en plus dans l’onglet « pratiques ».